Sur un banc somnolant à Vous attendre à l'aube Observant doucettement, vent défeuiller l'arbre Je me souviens du Temps qui passe Temps à jamais Ô ne me lasse
Allongée sur une chaise longue au soleil Vous rêvassiez, sommeil divin
Papillon passant, le songe glisse à l'aurore Réveillant morte saison de vieille amphore ; Devrons-nous abandonner songes
Dites-moi, pourrais-je encor Vous apercevoir Songes au lendemain d'un regard au miroir Assis sur ce banc, écoutant Le Temps de Vous, Vous attendant ... ©…Songe au Vent © (P)-12/06 Suba (8,12). X0
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