Gribouille ! je me nomme, au Paradis du chat Souvent pensées à Grissom parcourant l’esprit Celui du temps coquin, où blagues je commis Pour qu’il ne coure pas, d’un pas à l’entrechat.
J’ai douté un instant que mon maître délire De l’âpre absence courant leur douce demeure Et qu’oubli à Grissom, de compagnon à rire Devienne l’adage, d’un quotidien sans cœur.
Parfois, je croise Spike, toujours trop poilu Dialogue en sanscrit nous sauvant des oublis Et devant l’Oracle, j’ai dansé mille vies Pour que noire pensée, là, chez Vous, ne soit plus.
Divine réponse, l’arrivée de persans Jessy, Ifan aux charmants minois d’Orient Ravivent cet Aura qui toujours naviguait En ce délicat home, où j’aimais parader.
L'ami Sandro, devinez cette heureuse ivresse À percevoir l’amour en cette résurgence Où doux ronronnements chatouillent l’émergence De caresses de Kelly, ma douce Princesse.
![]() Voyez-vous ! chers Maîtres, ma douleur rehaussée À deux joyeux lurons, pour chanter vie passée Enchantent vibrisses tant parfumées de Vous ; Me voici rassuré : swinguez sur leurs miaous. ![]() Oli ©Au Royaume de Gribouille ©(P)-19/07 à Sandro (12) Y6
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