Sous un ciel parfumé au démesuré bleu Larmes abyssales flottaient au coeur des yeux Observant goélands parader en les Cieux Où se lisait miroir à oublier houleux.
La mer délectable d’un blanc psyché alleux Se traina éclairée de saltos périlleux D’amis marins lointains toujours audacieux, Où l’envie d’y plonger Vous rayonna, à feux.
![]() Las, comme ensorcelée, ne jaugeant la ruine De l’aube lancée d’Océan d’une bruine, Au Pallidum hué de la conque à Triton ;
Sombra lit de l’Amour au gré de l’éphémère Des soirées de l’Amant en l’effroi Cupidon ; Est Mirage de Vie où l’Ombre se murmure Oli ©Mirage de Vie ©(P) -28/06 à Rochelle (sonnet 12) P4 1ère étude cf https://olidelab.over-blog.com/2019/05/pastels-bleus-delloly.html)
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