C‘est comme si le pleur s’en allait au fil de l’heure adoucie qui se déroulait la petite fille l’écoutant sagement les cheveux au vent sans autrement son grand-père lui contant secret de son ambroisie de l’amour doux et discret Au loin ce pleur de son vol ailleurs à s’amuser au bord de vagues d'océan avec ses copines courant au gré du vent ; la tite fille savait ce caprice d’heures bien sot... auprès de son beau grand-père toujours à ses côtés même en l'heure-misère C‘est comme si le pleur s’en allait au Pays du chagrin grisé de son parfait : il ne restait que vol d’une larme égarée sur ce visage rose... naguère apeuré comme présente à se recevoir brisant la raison à ne plus se concevoir ![]() Sur les genoux de son cher grand-père s’endormit la petite fille de l'heure heureuse au Pays du rêve et du vent de cornemuse de mélodie plaisant à la Terre une Terre qu’elle imaginait des plus belle, qu’elle survola... battement d’ailes ![]() ©…Le Vol du Pleur ©(P)-29/07 YouC (9,12) Y9
|