Ils frappent des mains assourdissant l’heure De fous rires invitant le regard Ils sont clinquants ces acteurs de leur art Le Temps ne s’entend pas au Lucernaire
Ils frappent des mains, Ô.. pas une mouche N’ose passer écouter claquement Préférant Ô.. fureter autrement C’est l’hiver se devinant sur la bouche
Bouche bleutée, rouge selon le froid D’un café hot il s’oublie bout de langue Clignant des paupières moment de frange Scintillant un regard se montrant droit
![]() ![]() Oli ©…Café Parisien ©(P)-21/01/20…. (10 & 12) Diva. X0 |
Calme d’autrefois vente au Lucernaire Mots et pensées libres se racontant De murmures d’un jamais à déplaire Vous soufflant de revenir au couchant ;
Vous voici revenu au Café Lucernaire enthousiasmé du ballet d’acteurs de l’heure du souvenir d’un rire de rôle à tenir au soir improvisant textes du devenir
Que voulez-vous entendre, au doute le savez la fibre à jouer un rôle le possédez le Temps, la Raison Vous a deviné timide préférant les équilibristes de l’Armide
Vous vous souvenez de ce plaisir de jouer leur scène en mains récitant textes sur papier négligeant présence du bonheur de séance comme Vous conviant à l’intime élégance
Au Lucernaire Paris honore Diva maîtresse de ses mots scintillant en nova gestes se mouvent d’acteurs rêvant de la scène vous en souriez ! quelque part Êtes un Mécène
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