On suppose cent-mille choses Soirs et matins Ô fainéants Comme s’enfuir loin du printemps Et de l’hôte tuant les roses !
On suppose cent-mille choses Le regard noir au vain miroir Trompant l’espoir jusques au soir Nous endormant, sombres névroses !
On suppose cent-mille choses Face aux médias gravant la mort De numéros du mauvais sort Des pauvres gens aux ecchymoses !
On suppose bien peu de chose Après la mort d’un Être aimé ; Des souvenirs d’un Temps pâmé, Un soupçon de métempsychose !
![]() ...D' un matin surpris au soleil L’Espérance anime l’éveil ! ![]() Oli ©…On Suppose ©(P)-22/04…YouC(8)-X0
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C’est superbe et tellement vrai !💜💕🌸💞