Xinapa, voyez-vous ce doux silence imperceptible du hêtre : l’absence n’apporte rarement de l’Espérance aux regards s’évadant en quelque errance ; – Paris a beau resplendir de lumière, allongé sous un hêtre est conseillère ! Voudriez-vous que je sois ce silence Ô Vous écoutant moments d’abstinence ? Y verriez-vous un signe de chance élément essentiel à la dormance ? Zoé pourrait être la particule Vous inspirant battant ce ventricule osant me répondre au doux vent d’un songe un soir sous un hêtre de l’insouciance saisie du regard porté d’insistance ! C‘est ce silence porté….. Vous enchante encore jusques à la nuit tremblante dessous frétillant sous la nonchalance osant l’émotion d’une brise au songe une pensée s’estimant jour de chance xilophonique à notes en balance ! ![]() Sensiblement sous ce hêtre au silence irradiant l’attente à l’évanescence, libertinage évade un Temps l’absence ! Etendez-vous auprès du petit Prince ; Nulle autre ne pourrait jalmince ce soir de présence de son silence ; Ecoutez-le dorloter l’indécence ! ![]() Oli ©…Silence ! |
Hubert-Tadéo Félizé 16 août 2020 9 h 32 min
Toujours merveilleux écrits mis en écrin d’embellissement afin que nos yeux de lecteurs
s’évadent au plus haut du beau !