Passionné des syllabes, et de leur sonate telle une glisse au fond d'une barque sans toucher rive, ... est mon credo ! -*Merci pour votre visite & commentaire* - Abonnez-Vous ! (P) Textes protégés -((#autres écrits sur https://trefondsdelimbes.over-blog.com ))
-Ô..Toi ! que j’ai tendrement aimé un Temps humain paraissant trop court souvenances parfois m’envahissent de vos souffrances suivant une maladie tant et tant combattue d’un diagnostic auprès de patients réclamant sentiments où toujours preniez le Temps de Vous comprenant la détresse de la famille comme celle d’un corps demandant paix et mots rassurant l’instant évitant tréfonds d’un gouffre et l’abandon de l'Espérance du Lendemain l’Amie de la Vie que nous aimons malgré Tout !
Ô.. Père ! qui avez tant enseigné Médecine
et son Art jusques à comprendre le patient de ses demandes de soins et d’existences ; Vous, Monseigneur que j’ai tant admiré parfois j’ai crié mille raisons de ne pas assassiner certains élèves se prenant pour Seigneurs négligeant leur Serment d’un Surmoi affreux se croyant atteints du parfait en Professeurs jusques à tomber dans la suffisance sans nom oubliant qu’ils parlaient à leur Maître d’un Temps tant vénéré auprès des leurs hier encor : Ô.. Mon père, voyez comment votre femme a souffert en silence de l’insipide être.
Ô.. Vous, fidèle d’un Temps de Hippocrate comment avez-vous fait pour le trahir ce soir auprès d’une femme inquiète Vous demandant un peu de compassion et non philosophie d’un trop de moquerie ; votre Père Ami de mon Créateur eut dû Vous entendre jusques à punir cette faute ; ..hélas, seul témoin, je fus de la triste Scène prêt à bondir et Vous gifler de mots âcres faute à l’Arrêt de duels à l’escrime…sous peine.. ; remerciez cette Femme, mère de treize ayant subi la torture à Koenigsberg ayant toute jeune dit Non à l’occupation, de m’avoir stoppé de l’action illicite me soufflant d’un air ravi quoique attristée d’observer vos deux assistantes furieuses d’un regard noir silencieux tuer Votre Ego me laissant crier en limbes mots à Dieu.
Ah ! il est exact que vous êtes Professeur comme nos Pères reconnus en leur Monde et jamais vantards pour un sou de fierté ; Vous ! l’oubli de la vie Vous a vaincu moche de vos décisions de chirurgien sorcier ; vous l’avez opéré veille d’un départ aux USA pour un colloque et séjour d’une quinzaine, comme un garagiste …; Il était le meilleur ami de votre cher père remettre au retour “l’opé” était nécessaire ; durant votre absence le Service de Médecine fut inopérant présentant désillusions jusques à meurtrir mon Père d’erreurs médicales laissé des heures à terre d’une chute lui offrant une fracture de l’omoplate lui délivrant le sentiment d’abandon de ses Pairs l’amenant au laisser-aller d’un cinq juin d’une souffrance rendant l’âme…
Ah ! il est exact que son mal le prédestinait à quitter un jour sa Vie comme est le “destin” mais abandonné comme il a été ressenti ; jamais, l’entendez-vous d’un jamais jamais il n’eut le fait respectant l’Edit du Serment.
Je me rappelle d'un jour face à mon père allongé, en compagnie de vos collègues Vous lui avez demandé ce qu'ils devaient “operandi” pour guérir grise souffrance ; …étonné ! il Vous laissa juge comme dépité de votre incapacité décisionnaire Vous précisant qu’il n’était plus le Professeur mais seulement un patient attendant les soins me serrant la main gauche comme un besoin ; Tous ! bêtement vous en avez ri tels des sots brisant déjà la confiance en votre choix heurtant ma croyance en ce désir de soigner tant vous présentiez une faiblesse amère ; “..je passerai ma Vie, j’exercerai mon Art dans l’innocence et la pureté “ (Serment)
7-Vous le connaissiez bien de sa splendeur à découvrir la cause d’un mal caché au diagnostic réputé et chanté en salles sauvant mille vies perdues de leur essence ; face à la digne réponse de mon Père vos rires maladroits d’un au-secours vous ont entraîné sur un chemin de défaut trahissant ce Sabir médical et Serment ; que de bêtises et de mensonges émis avez commis au détriment d’une vie encor parjurant Hippocrate et votre Serment ; “Je dirigerai le régime des malades à leur avantage suivant … mon jugement et je m’abstiendrai de tout mal… injustice”...
Remerciez Mon père me demandant silence de ne pas abîmer l'Univers pour du futile ; il se savait condamné de ce ridicule comportement de l’absence à guérir autre que celui d’opérer pour statistiques négligeant les quatre-vingt cinq de récidive ne devenant qu’un numéro parmi d’autres.
Il se savait trahi de Pairs incompétents ; il se savait dépérir Vous amenant tourments, Vous marquantd'une croix de maladroit ; vos limbes ternies d’un métier ne Vous allant, Lui, mon Père préférant me conter miracles du Vôtre d’un Toujours auprès de ses patients rassurant et jamais hautain, sans pudeur
Oui ! je tairais votre nom là, “cher professeur” ; sachez que si Dieu Nous écoute, existe jamais le Paradis ne Vous attendra vous devrez y faire vos preuves d’âme ; bien sûr, vous avez sauvé des Vies un Temps oublié d’autres parfois faute de pouvoir, mais la suffisance et l’Ego démesuré sachez-le Monsieur, est la pire sentence après le crime d’âmes innocentes ! “Je ne pratiquerai pas l’Opé… de la taille Je la laisserai aux gens qui s’en occupent” est un commandement du Serment d’Hippocrate ; vous l’avez sottement oublié de l’Ego !
Il se chuchote qu’une sœur Vous respecte que puis-je dire sinon qu’elle ne sait votre incompétence amère face à ma Mère ; – “.. Docteur, .. il va mourir ? .. (d’une prière) jamais de Vie, un homme comme une femme ne devrait y répondre sarcastiquement d’autant à un Être de sa connaissance de plus de vingt ans ; vous vous êtes maudit ; C'était une digne prière d’une Femme demandant mots de compassion d’un ami ; – “Mais… Madame, Tout le monde meurt un Jour” d’un ton suffisant, dégainant mon lever pour… ; ne sais comment mes frères eurent réagi si témoins de la scène offusquante ils furent ; ce qui me rassure est que vous serez oublié un jour dans un Palace pour Gent aigrie vieillissant d’une complainte oubliée ; c’est un dogme de mon cœur de Médecin, même si ma voie se détourna de ces études… vous avez fourvoyé ce rôle médical…
Oui ! mon Père va mourir, tel est ce compas voué à chacun sur la Planète bleue ; oui ! ma Créatrice toujours Reine dans son porté subira mille tourments injoignables
de ses secrets et pudeur d'une femme "humaine" comme depuis son retour de la Déportation.
Oui ! jamais Vous n’aurez à lire la sentence que je Vous ai alloué à la seconde de mots, mais sachez, “professeur” que le mal fait d’autant à la Cyrano d’un foutu Ego est punissable ad vitam aeternam ; – Être Médecin, ce n’est pas Devenir Dieu ni Satan, ni brandir le drapeau du nombril ; vous avez bafoué le beau sacerdoce ; Vous dégrade comme suivant le précepte ; du Serment : “-…si je viole le Serment et que je me parjure, puissé-je avoir… sort contraire !..” -Être médecin, c’est accepter de prêter son cœur au patient pour le guérir de soins et de mots même le Temps infime d’un sourire.. !
Quinze janvier, Mon Père, Vous imagine naître à sept mois, fragile et d’un cœur tendre croisant un Jour les yeux verts d’une parisienne…