Passionné des syllabes, et de leur sonate telle une glisse au fond d'une barque sans toucher rive, ... est mon credo ! -*Merci pour votre visite & commentaire* - Abonnez-Vous ! (P) Textes protégés -((#autres écrits sur https://trefondsdelimbes.over-blog.com ))
Matin : “il est” Parfum qui s’absente ; La nuit : “vit” blanche Voix qui m’enchante ; Que n’ai-je pu :Voussauver monFrère De tourments délivrés par l’Enfer !
Ô.. Toi l’humain, en ce jour de juin Ayant décidé du Sort d’un frère, Te crois-tu à l’abri sur cette Terre ? Ne crains-tu pas jugement de Fin ?
Ô.. Toi l’humain, Juge des “trois jours”
Tu as osé le dénigrer : Seul
Il se noya de ses Amours,
Fier des souvenirs et de leur feule.
Ô.. Toi l’humain, gradé sans respect
Combien as-tu meurtri en besace ?
Juste par plaisir Ô.. d’un Rejet ;
Le Tien qui chaque soir vous tracasse.
Ô.. Toi l’humain, l’Erreur militaire Croyant légitim’ puisque gradé
Ignorant jeunesse réfractaire
Jusques à tuer fragilité.
Ô.. Toi l’humain, faux croyant de Vie ;
“Point Dieu Tu n’es” : Ô.. l’as tu pensé
Au moment du choix de l’exuvie
Pour ce frère si doux, si sensé.
Ô.. Toi l’humain, plongé dans l’ennui Scrutant bidasses et origines Jusques à procurer de l’Honni ; Tu déshabilles la Vie divine.
Derrière tout uniforme se cache un homme avec des valeurs et des principes et devant certains cas, les valeurs et les principes passent par dessus ou pas…. si derrière l’homme il n’y à rien, cela donne des évènements pas très beaux. Bien écrit et bien retranscrit qui donne une dimension à l’être humain qui ne faut pas oublier. Il peut-être capable du pire et oh combien du meilleur. Merci Olivier,
Merveilleux poème…
Quel témoignage poignant, où la tendresse, l’amour et le chagrin se côtoient
Cette peine immense de la disparition brutale d’un frère, d’un fils, provoquée “bêtement”…
et ce récit sont tellement émouvants.
Merci Olivier pour ce souvenir partagé
Ô.. Toi l’humain, haïssant pensée, Se délectant des jours d’obédience Où tu paraisChefde l’inconscience ; Tu as brisé ce jour d’offensée.
Ô.. Toi l’humain, vois ses fiers parents Mourir du chagrin Ô.. de Votre Honte Décidant du sort pour différends Sur l’intelligence : “pas votre Monde” !
Ô.. Toi l’humain, l’ayant envoyé
En Rhénanie com’ pour le punir
Et le fendre d’un cruel souvenir ;
Sois en sûr, l’Epée t’est avoyée !
Ô.. Toi l’humain, tu t’es tant moqué
De sa Maman déportée un jour
En vil Pays d’Oder sans amour ;
Honte à ta vie, celle d’un toqué.
Ô.. Toi l’humain, brisé est mon cœur
Celui d’un frère cherchant l’Ami
Matin et nuit où se meurt Bonheur ;
Cachez-vous du regard ennemi.
Ô.. Vous l’horreur, j’ai changé d’orbite
Ce “Dix Janvier” fixant le Cercueil ;
Qu’importe ma vie : parfum de deuil Me fait haïr “your” vie de Termite
Ô.. Vous noirceur, que faisiez-vous donc
Ce jour où Terre recouvra mon frère ?
Sans doute feigniez-vous l’amour : onc !
Pensez ! Vous aimez tant vous distraire.
Ô.. Vous cher idiot, si Dieu est, lors
Selon Tables, l’Enfer vous sera
Ce Livre de chevet, des remords ;
Sans Dieu : “mauvais sort” se servira !
Ô.. Vous l’aigri, nul Pardon fuira
De mes limbes : “Êtes lâcheté”
Derrière des galons sans clarté ! ; Larme sans vie me fréquentera.
Ô.. Vous “la chose”! je vous dégrade Du titre “Humain” mourant en noyade ! Las ! n’ai pu l’en sauver, mon doux Frère; Nuit : seul rêve à deux sera La Terre.
« Ecrit ya des années, deux mois après la mise en terre de Francis mon frère, parti trop tôt,suite aux conséquences d’un mauvais jugement d’un gradé toqué stupide et aigri “ptit juge des 3jours militaires” déshonnorant l’Armée!”