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Douce étreinte en tes bras d’été prolongé

Chavire l’espace agrémenté de “Nous

Au firmament du manque de cette essence

Désolant pensées imagées de présence,

Où Me réfugie en ce puits à genoux

D'enivrés instants de Notre voyagé.

 

S’aimer de ce manque habillé s’émerveille

De plumes voguant, telles feuilles d’automne

Hésitant à ambrer le sol d’une mort,

Ne désirant que séduire nuit-soleil

De souvenances de la vie pharaonne

Où nos yeux vibraient de Mots sans un remords.

 

Que ce chemin me menant à ton côté

Ne s’efface pas sous les larmes d’hier

Au fil de ce Temps où tu tournais la page

Du dépourvu des failles, de notre « était »

Où mots se glissaient au creux de sablière,

Tourmentées, craignant “Fin” de l’âcre sillage.

 

Douce heure, est de répliquer ce parchemin,

Celui qui décrit le frisson de tes mains,

D’évanescence parfumée des matins

Où nul mot n’éprouve besoin de satin

Puisque corps écumés de douce chaleur

Se fondent en Monde ébruité du bonheur.

 

Enfreint souvenir d’«Il était une fois» ;

Deux êtres d’Amour s’épanchant du regard

Oubliant l’obscur, celui de Gent hagard

Délivrant conseils d’un trop souvent parfois,

Où se plait l’ombre reflétant le satin,

Aux matinales, sous ton Air palatin ;

 

Ce “chemin boisé” se balance effeuillé

De tes Mots clairsemés un soir de juillet !

-Oli© Chemin Boisé

©(P)-08/04  ..Day  (11) Y3

 

 

Tag(s) : #Poésie_Sixain_à_huitain, #poésie_07_09_11syllabes, #poésie_Années_Y
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