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Rive argentine illuminait ces visages De rêves ensoleillés et paysages S’écoutant posés telle balade au Louvre Au miré des yeux d’un Pays qui s’entrouvre
Rive d’un corps me dessina ce voyage Elégant timide d’un parfois volage S’écoulant parfumé d’un air argentin Au cœur de lèvres d’espace florentin
Que n’ai-je fait de Vous séduire aux couchers Du Parvis de Saint-Germain-des-Prés cachés Des regards indiscrets d’émus parisiens Face au spectacle d’étourneaux galiciens
Un Temps Vous rattraper au vol de belle aube Pour danser et Nous aimer de la nuit chaude Au matin nous réveiller sous voix chantée Effeuillait d’Amour la nuit agrémentée
Rive Lointaine balançait ce doux rêve D’un pas de tango imaginant la fève Délivrant la Pampa de tous ses parfums D’un voyage les yeux clos de mots enfreints
Déjà mille pluies depuis ce jour enfui D’une âme voyageant loin du naufragé Laissant l’Amour respirer à l’ombragé Tel murmure argentin délaissant l’ennui
![]() Oli© Rive Argentine … Argentina © 07Jul (11) Z7 |