Sous la blanche fenêtre, un jardin se repose abandonné des vents Ô puisqu’il n’en dispose !
Du souvenir de l’Hiver, des feuilles en miettes, emmitouflées de brins d’herbes d’allures vertes, se compostant au sol invitant le Printemps à renaître l’Amour, de la Vie, cours du Temps ! le jardin de sa lenteur tente de s’éveiller sous regard de chimère en proie, à sommeiller, Tant la douleur de l’heure est complainte du vent Tant l’absence de sons est un cri, au levant ; sous la blanche fenêtre, un jardin se repose, confiné, soupirant du Temps qui l’indispose !
Une blanche palombe erre de petits pas, Ô quelques insectes s’aèrent autre glas, belles grives et moineaux sautillent sur branche ravis du silence des chats dormant en chambre veillant à leurs héros confinés en appart ; Tout semble être équilibre au jardin sommeillant, pourtant Rue de l’Espine erre Mélancolie d’écriture au jadis : la Vie s’est endormie ! sous la blanche fenêtre, un jardin se repose, une ombre le regarde au vent qu’il recompose !
Pensée vagabonde se plait de l’Espérance ; -Ô souriez aux enfants apportant l’importance, le jardin fleurira, un matin au soleil et danserons jusques à la lune à l’éveil !
Oli ©…Un Jardin se repose 28mar -YouC (12) -12ème Volet X0
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