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Il virait au large dans le brouillard l’élégant Trois Mâts, monument de l’art d’un au-revoir abandonnant au sort pensées de vagues monstres au regard
Ciel et mer se confondaient d’une brume opale au gris bleu de brise opportune frôlant le regard et la chevelure comme avertissant l’heure de voilure
Ouvrant le parapluie face au crachin et de l’émotion virant au chagrin, Maud d’un pas nonchalant longea bordure ;
Point de crainte à glisser sur le chemin les ans passant, ne vivait plus torture de l’habitude au pas de vieille usure
/image%2F2031916%2F20210614%2Fob_c4bd20_imag-2021-05-15-a-21-03-41.jpg) Oli ©...Brouillard au Large ©(P)-15/05 (10) *You04. Y7
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21 juillet 2020 7 h 36 min
quel habile sonnet, forme classique si’l en est, au service d’un style qui n’appartient qu’à vous. Bravo et merci, Oli’. Amicalement…
21 juillet 2020 11 h 07 min
Très joli, merci
20 juillet 2020 19 h 14 min
j’ai adoré, vous composez si bien, un style unique
Chantal