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Au matin revenu, Elle s’observa belle ! Quoique le doute de lointaines Vies lassées, Lui laissait un picotement d’envie rebelle Des Amours convenues jamais guère effacées.
Qu’importe sa Vie de l’autrefois tant passé En contrée se montrant aux autres peu visible, Revenait à chaque fois de son pas chassé Titiller le miroir hantant ce prévisible.
Son désir du lendemain s’était bien perdu En des flots parcourus et sensés de l’oubli Sous un rocher solitaire non défendu D’un mascaret de pensées, d’un guère affaibli.
Un beau jour, comme un Astre, réapparaitrait ! Ô.. ce beau ténébreux voyageant à l’envi, Enlaçant sa douce Mie du baiser ravi De voir matin d’un vent, l’Amour d’un joli trait!
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Oli©…Matin revenu ©(P)-06/07 (12) *YouC. Y9
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