Ô.. j’ai tant pleuré de Vous cet hier De votre présence en pâle miroir Où ne pouvais, là, ô Dam ! Vous toucher Et m’étendre auprès de votre coucher.
J’ai tremblé sans voix de l’absence au soir Gris, de votre image que vous laissiez S’abandonner d’un mot sonnant encor Suivant délicate valse à baisers.
Au soir, j’ai tant dormi d’un sommeil d’Or Vous conviant en mon imaginé Reflétant divin sabir de l’Espoir Du Temps riant de notre Raffiné.
J’ai puisé d’encore au tréfonds-matin Le souvenir bleuté de ce parfum En vain, que parfois Vous m’abandonniez Tôt de ce baiser que vous adoriez.
![]() Ô.. j’ai délaissé l’instant à faillir Sur cette Terre... Ne m’en voulez pas, J’ai perdu la valeur douce... là-bas Ne percevant bonheur comme avenir. ![]()
Oli ©…Tréfonds-Matin ©(P)-09/04….. Delfy !10) Y3
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19 février 2021 12 h 48 min Fine plume. Écrit raffiné.