Paris, cinq heures du mat’ comme fatigué je dois me lever puisque invité de ce Réveil ne connaissant guère plaisir autrement que de briser raison d'avenir auprès de Vous et Fin... à ce Rêve Nous privant de sa tendresse brève
Paris, six heures du mat’ comme fatigué j’observe depuis l’heure un Réveil impassible de son indicible éveillé agaçant le regard d’un pénible sommeil ; -Où êtes-vous ? Étions bien ensemble à vivre beaux… matin de septembre
Paris, sept heures du mat’ comme fatigué pourrais-je enfin me lever tranquille loin de ce Réveil sonnant à terre, épuisé du Temps de vie marquant l’indicible ; -Nous nous sommes tant aimés là-bas bord de limbes à l’oasis… sans un combat
Paris, seize heures au Quai du Louvre à traîner scrutant d’amour ce Louvre au Soleil imaginant rêve osé… et s’y voir aimé choisissant les couleurs du sommeil ; -Ne m’oubliez pas… la nuit prochaine de votre arc ajustant ce Réveil de l’aubaine
![]() Paris, deux heures du mat’ comme fatigué le Réveil étourdi semble comme épuisé ; -Serait-il de la nuit… courrouceux où tous deux éclipsons tant de “ceux” pensant du Rêve... un manque de Vie oubliant qu’il vit de l’Amour et de la Vie ![]() ©…Paris, je Rêve © (P)-07/09 … *Mary (9,12) *Z0 |
...Paris, je Rêve - Delloly
elalie.ecrit 26mai 2021 J'aime beaucoup les références. Subtil jeu... 👏🖤✍