Au fond de la Vallée, coulait pâle ruisseau Celui de nos Amours fredaines et sensibles, Laissées, un jour tremblé, sous le frêle arbrisseau Un doux soir d’automne, de jamais incessibles.
Que de libellules s’adonnant à danser Guidant l’élégance de la belle espérance Comme à Nous souffler divins mots à prononcer Au jeté de monnaie... fuyant l’évanescence.
Et ce bel automne nous offrant folle feuil’ Pavanée de senteur du reflet des hivers Frôlant l'âpre peine de douceur trompe-l’œil, Harangua cette vie d’un regret découvert.
Au fond de la Vallée, bruissait un Madrigal Pleurant belles Amours d’un Temps alambiqué Au Nom de sa beauté et désir abyssal, Le Nôtre... tant aimé... parfois revendiqué. Oli © Bruissement Automnal
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Merci pour ce plaisir toujours délicat émanant de votre art de poétiser. 🙏♥️