Souvent nous nous promenions d’un sommeil Chemin du Razal gaiement au soleil Sous le chant strident de vaine cigale Et jappement de labris l’air jovial Ô se dénommant Roederer et Crystal
D‘une simple balade cévenole au coeur de la belle Séranne d’or sous l’œil lointain d’un Pic d’Anjeau, qui dort, en passant très adroits le Guet du Razal, l’excursion respirait le madrigal
Labris de naissance et de gente essence, Fils et mère, jouaient de l’innocence Nos sensibles nerfs Ô furetant d’aisance S’échappant dans la brousse cévenole Vastes instants d’une Epoque en parabole
Sur un rocher, promenant la patience D’un regard régalant l’évanescence Attendions sereins en humant les senteurs De peu de mots rompant l’arborescence Cévenole et de suaves bonheurs
Roederer, coquin petit chenapan Prenait le plaisir d’un jappe à courir Revenant toujours tel beau courtisan Auprès de la Dame aimant le chérir… Oli©…Chemin du Razal |
... Chemin du Razal - Delloly
christinegautheronchristy 17sep 2021
Quelle belle prose sensuelle, sensitive, odoriférante, picturale et pleine d’émotions grandioses🌺💖💕