Au Jardin des Tuileries je traîne l’oubli moineaux au large m’ignorent comme un chablis commandé, et si peu goûté de... la saveur, l’amertume se glissant lasse de... l'humeur vagabonde éprise de ce Passé laissé lissant d’un abandon... ce lamento posé
Au Jardin des Tuileries je traîne l’oubli du chagrin me collant encor trop à midi guère noyé du Temps d’un chablis désolé de n’être la brise me sauvant du Passé le nôtre tant valsé d’un coulis de la Vie perturbant négligeant le demain d’une Vie
![]() A l’horizon Louvre demeure Ô.. impassible d’une beauté régnant quelque soit l’indicible se moquant quelque part du trouble de nos Vies gesticulant pensées à jeter exuvies et suivre le chemin détourné de son cours puisque la sottise cingle l’âme un vil jour
Au long du Pont Royal je déambule au bord de la chaussée grise, délaissant Seine et tort Vous ayant avalé d’un mépris sans égard un soir de décembre froid invitant la Mort Ô.. ne Vous déplaise je n’aime plus les Ponts déroutant souvenirs de la mémoire et sons
![]() Je marche au ralenti Rue du Bac à Raspail samedi diurne fredonnant un Versaill' de morceaux musicaux de Kim Wilde et tant d’autres tant et tant côtoyés durant sorties d’apôtres de Vie Parisienne au Macao d’un rire juste pour s’enivrer de nos Vies d’un sourire
Au vingt-neuf de Sèvres je pousse la vitrée lourde porte noire tant et tant repoussée comme un somnambule franchissant des marais perdant notion du Temps... raisons à jamais résonnant l’Amour d’un Cœur exsangue et amer donnant ce petit rien de l’Espoir... à ma Terre ![]() Oli ©…Au Jardin, traîne l'oubli © (P)- Francis Jr(12) 15-19/02 P5 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire” -Série Apost |