Que crains-tu dans le silence... au soir dormant de rêver là, au-deçà de bise à vent et Nous percevoir au “là-bas” indicible ; ne ressens-tu pas au soir ce vent de Nous crier absolument... ce vain impossible se pourfendre de raisons folles de Tout.
Que crains-tu de deviner parmi les tombes au fil des allées amenant des rencontres d’âmes seules perdues face à l’indicible des oublis de faibles traces d’autrefois ; -avance d'un pas... suis-moi de ce regard de plénitude simple, où le coeur s’écoute.
Que crains-tu à pénombre... me suivre au soir souriant sans une ombre aux sentiments d’âmes te demandant là, regard d’évasion un pas, voire deux même fort sinueux au coeur de ces allées douces... t’accueillant comme reconnaissantes à ton passage.
Que crains-tu toute belle d’être observée au son-miroir de pas hésitants au soir ; blancs ou gris, et même de marbre Ô... ils sont ne demandant d'envie qu’un regard de charme leur donnant raison du soir à cette assise éternelle... à vivre là, de souvenance.
![]() Que crains-tu là, Demoiselle... au soir dormant rêver ici, au-deçà de bise à vent les âmes ne demandent Ô... que silence contemplant une balade à patience ; -s’entend leur coeur au brumeux LA... de ton pas d’une espérance oubliant le sombre glas.
Viens, au soir dormant, prends cette main... faisant ne crains pas... long de tes pas... l'ombre du vent. ![]() Oli© Au Soir dormant ©(P) 08/04 ..Suba Z2 (11) |
Anne Cailloux 10 février 2019 21 h 19 min
Joli soir dormant qui ne donne pas envie de dormir très joli..
Anne