Au lendemain d'un matin tombé à l’ivresse la pensée nuageuse étirée fort pauvresse s’estima fébrile là, pour en convenir à ce bourdonnement latent de la kermesse grésillant l’ouïe de délicate tendresse d'un regard comme d'un baiser... en souvenir !
Quel était-il ce souvenir songeur de l’aube ? à qui ce doux baiser endolori de mode s'était-il joliment abandonné... désir ? comment pouvait-il à claire-voie sans l’opprobre Ô le ressentir suave à nouveau de l’ode et s’émerveiller au repos... à ce soupir ?
L‘heureuse claire conjoncture intemporelle à s’éveiller brumeux de la coquine veille grisant limbes au-delà... sage devenir pavana le beau regard d’une demoiselle conviant fond d’un jardin, comme sauterelle, l'écoute d'un chant... rose en main... à ce désir !
Ô.. voilée d’un ciel irisé, à contre-jour formes diffuses se prêtaient au devenir élégant de petits sauts à cabri d’amour tant l’allégresse sembla comme la cueillir au jardin de fleurs... de romance troubadour !
![]() L‘ivresse s’estompa ce jour à pompadour de couleurs à l’aube s’étirant d’un automne ….comme Vous déguisant... d’allure polissonne ! ![]() Oli ©…Ce matin à l'Ivresse... 22aot (le Dérive Rd2) Féiléacan. Y4
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Christian Satgé 7 mars 2020 17 h 00 min
Tout en nuances et en sensations. Superbe moment de lecture. On en redemande...
christinegautheronchristy 06nov 2021 C’est ravissant, comme un vertige enivrant 🧡💛🙏💝