Ô vous m’attendez sûrement au Parc Monceau de ce retard latent Vous imagine belle plaisant à Gent qui passe ou vague passereau en quête de miettes… Ô voire mirabelle quoique il me semble bien délicat d’y goûter en cette saison à l’augure printanier
Ô vous m’attendez, sûrement revues en mains un quotidien de son drapé sous le soleil ; ne sourcillez pas.. de ces mots quoique divins il me plait d’observer là, ces instants de veille lorsque tous deux au Café de Flore un aprèm prenons belle heure face à face d’un Teatime
Ô vous m’attendez, sachez, me suis égaré Cité des fleurs parfumant un chemin pavé de tous ses arbres à fleurs pavanant au calme chemin provincial plaisant tant à toute âme ; tous ces arômes du Parc Ô.. Vous entourant ne doivent griser jalousie : -ils Vous décorent
Ô vous m’attendez seule sans doute à ce square, Les Batignoles il s’entend, j’aime le croire, eut été plus à propos de son charme et lac ; j’ai pensé qu’au milieu de fleurs roses du Parc il fut plus en demeure d’être à Vous à l’heure, j’avais omis mon regard recherchant l’odeur
![]() Ô ne me souviens des noms de ces rouges carpes dormant sous l’émeraude du bassin ovale, attribués de vos lèvres, un jour d’agapes en ce jardin sous des baisers taquins : ..parole je m’empresse…, voyez comme ces sèches lèvres réclament le breuvage des vôtres de sèves… ![]() Oli ©…L'Attente à Monceau ©(P)-09/04.. hely P8 (12)
Publié dans Murmures Parisiens - Juillet23 aux Editions du Net https://www.leseditionsdunet.com/livre/murmuresparisiens Isbn 9782312135038
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Lise Beverly 4 avril 2019 19 h 22 min
Bonjour, votre poème est magnifique, on s'y imagine facilement Amicalement.Lyse.