![]() Et maintenant sachez-le, c’est l’apothéose À l'heure où Vous ai regardée Songer... simplement regardée Je le redis encore et l’ose Que voulez-vous :- de ce fait ne m’avez-vous pas Charmé ce jour... de ces paupières-éventail D’une invite originale à franchir le pas Ce jour rose de printemps... devant le portail ; Tous deux guettions son ouverture D’un Musée Parisien bord d’après-midi Nous avions froid comme il se dit Nous avions faim d’un beau murmure
Et maintenant, voyez-vous le temps se dessine De nos espoirs, rires et de fait du devine, Ô.. d’une invite sans oser murmurer, juste De l’imagine, debout, contemplant ce buste Contemporain, Nous présentant joli... semblant De femme, compris de nos regards s’échangeant En visages rosissant et se retenant Non par folle crainte, comme ça simplement D’autant que nos yeux Ô se plaisent ; Blanches statues le comprennent :- elles se taisent ; Il importe peu ici leur chuchotement, De convenance... le savourons autrement
A Paris, se chuchote encor L’impromptu, peu de mots... d’un vent, D’un musée recherchant ces modèles en or Ressemblant à ceux du beau jour illuminant L'amour ivre à pénombre... au repos incarnat Paressant libre au fil de quelques cent dix pas, N’attendant à l’aube qu’un murmure d’amants Louant sosies en bustes... à gestes charmants….
Oli ©…D’une Invite
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