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Et maintenant sachez-le,  c’est l’apothéose

À l'heure où Vous ai regardée

Songer... simplement regardée

Je le redis encore et l’ose

Que voulez-vous :- de ce fait ne m’avez-vous pas

Charmé ce jour... de ces paupières-éventail 

D’une invite originale à franchir le pas

Ce jour rose de printemps... devant le portail ;

Tous deux guettions son ouverture

D’un Musée Parisien bord d’après-midi

Nous avions froid comme il se dit

Nous avions faim d’un beau murmure

 

Et maintenant, voyez-vous le temps se dessine

De nos espoirs, rires et de fait du devine,

Ô.. d’une invite sans oser murmurer, juste

De l’imagine, debout, contemplant ce buste

Contemporain, Nous présentant joli... semblant

De femme, compris de nos regards s’échangeant

En visages rosissant et se retenant

Non par folle crainte, comme ça simplement

D’autant que nos yeux Ô se plaisent ;

Blanches statues le comprennent :- elles se taisent ;

Il importe peu ici leur chuchotement,

De convenance... le savourons autrement

 

A Paris, se chuchote encor

L’impromptu, peu de mots... d’un vent,

D’un musée recherchant ces modèles en or

Ressemblant à ceux du beau jour illuminant

L'amour ivre à pénombre... au repos incarnat

Paressant libre au fil de quelques cent dix pas,

N’attendant à l’aube qu’un murmure d’amants

Louant sosies en bustes... à gestes charmants….

 

Oli ©…D’une Invite
©(P)20/06 … (12,8) Z9

 

 

Tag(s) : #poésie_Années_Zb, #Poésie_Paris, #poésie_Bisyllabes, #Poésie_Neuvain_&+
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