De plus en plus tard, le frêle soupir ![]() se tait de son insomnie, comme un vent, pleurant contre un mur, d'un son s'en allant au bout du chemin jusques à frémir de vaine attente s'épuisant du chant, De grenouilles chavirant l'avenir
Vous m'attendez là, refusant l’oubli de cette histoire se blâmant "périr", au vent du remords là.. guère établi, d'un son refusant ce dur mot finir, comme un besoin de croire à ce désir ; -d'être ensemble se doit se convenir
Les cigales curieuses de l'ombre, brisant le vent, du voile élançant l’ambre du couchant frêle, hésitant un sommeil, dansent, vibrant joli cœur en éveil, jouant rides d'eau glissant aux chevilles, Vous gardant douce au vent de peccadilles ![]()
Au soir s'endormant, bord de l'étang rose de l'attente vaine au sentiment d’ose du repos s'étirant bord du regard, vous rêvez de ce jour, où ce hasard Nous croisa, fragile à Vie poétesse, conviant le jour, semant la tendresse... ![]() Oli ©…Une Histoire ©(P)-15/08 … Ambre Y9 (10)
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