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Venez Ô ma Douce là, tout contre l'épaule

Rêvons au grand large au Parc vert de Belleville

Belle Dame de Fer brille de l'élégance

Damant notre Paris de juste jouissance ;

Laissons aux vents là-bas, lassitude de ville

Se perdre en ses sillons de l'ancienne Gaule

 

À travers les bosquets, descendons vers Pékin

Non, ce n'est que charmant au bout de ce jardin

Le Mandarin s'est tu : -Temps éloigné de Nous ;

Voire ma Douce, osons remonter  envers Tout

Faire révérence à vieille Dame et mondain

Ne connaissant ce lieu qu'en titre de dandin

 

Venez  Ô ma Douce, irons dormir à Belle Yze

Là, au cœur d'un jardin où se taisent les "disent"

Ceux croisés, vague soir d'un salon de pantins

S'amusant de ces riens souvent inopportuns ;

Là, nous nous aimerons aux vents de Tout et rires

D'un jamais à voler plaisirs à gourmandises

 

Oli ©…Belleville de Vous

©(P)-02/03. muse Q4 (12)

 

Tag(s) : #poésie_12syllabes, #poésie_Années_Q, #Poésie_Sixain_à_huitain, #Poésie_Paris
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