C’était écrit : ...Lui appartenait Chaque journée... sans aucun regret Toutes les nuits au lit de son rêve Respirant le murmure à sa sève Le châtiment du Temps épuisé ; C’était écrit... il s’en amusait C’était écrit au fil du regard En son encre brune du hasard ; Ce Temps aimé défilait en l’âme Sous la brume d’un visage-Dame Tardant au LA ... d'un Pas cadencé De négliger... baume nuancé
![]() C‘était écrit : Au parquet de Beaune Craquant sous leurs pas douceur d’automne S’épuiserait... jeux cachés du jour Jusques aux Quais et bouquins glamour De l’effeuillé... apportant désir Aux nuits folles... d’osés à mourir C’était écrit : Demain de l’ivresse Un jour de l’envol de sa Duchesse Murmurant “END”... l’Amour vécu Ô.. glissant sous un vent dévêtu... Sonnerait le glas de l’Amour libre ...L’ennui s’étirant faute de fibre C’était écrit : Se devait mourir Ce matin frôlé d’un sot « flétrir » De l’absence de veille à suspendre... L’incompris des sentiments à pendre En Place des Oubliées d’Eté... Au premier coup de froid... regretté
C’était écrit : Larmes à rupture Criant désespoir de l’imposture Tomberaient en Puits du Lamenté... L’automne n’osant là... un Quitté Se décomposer d’Âme-parfum Conjurant à paraître commun C’était écrit : Triste Jour-d’Après Blesserait leurs cœurs d’âpres regrets... D’une fierté repoussant l’Amour Sur l’horizon... rouge sans retour Par crainte... de la pensée de l’Autre Chuchotée de Fous... prônant la FAUTE. Oli ©C’était Ecrit ©(P)-28/09 Mary (9) Q9
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