Très étonné de Vous revoir ce matin Brisant la noirceur, grisant Temps de l’absence, Très étonné, ne peux que l’être, l’errance Semble déconvenue de mots en latin ; Tempus Erat*!... chuchotent limbes au vent N’espérant brin de réponse en paravent Tâtonnant le regard Ô.. timidement Com' d’une excuse d’exister de l’encor Auprès de la lumière irisant l’air... d’or
Que désiriez-vous ce matin délivrance N’ayant plus le besoin de craindre l’absence Vous attends depuis un Temps inconvenant Autant de leurs heures... autant de l’oubli Autant de l’attente que du patchouli ; -Qui Sumus Nobis !.. pour s’amuser autant De la Vie repoussant préludes et ciel Nous conviant à fuir... superficiel Et vivre au jour l’océan des sentiments
Nous-reverrons-nous demain sans artifice Simplement nus du passé... au beau solstice Enlevant l’impureté d’une vie grise De rouspétance face à l’absence émise Pour recouvrer... Temps de la Séduction Sur nos regards fatigués d’illusion ; -Quo Vadis !.. chuchotent encor mornes limbes Lorsque nos désirs se heurtent indécents Au lendemain s’amusant des innocents D’instants à langueurs... s'abandonnant en timbres
Très étonné de Vous revoir ce beau soir ; Il était temps de ne plus se décliner Sur mots de jadis... se perdant au revoir De l’espérance... d’un arôme au dîner ; Il était temps de s’abandonner la nuit Conviant les draps à se plaire du bruit…..
Oli ©…Le Temps Recouvré *(C'était l'Heure) ©(P)14/05/… (11)) Muse Z9
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