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Quelques soient les raisons à votre absence
Ce beau jour du printemps quoique endormi
Sous les vents audacieux d'un kami
Je ne m'y plais seul... faute d'élégance

 

Élégance est ce parfum habillant
L'humble regard aux premières heures
De l'aurore à Vous quémander les heures
Déjà d'une soirée se dessinant

 

Entre temps aux Deux Magots... de l'oblige
Aux seize heures d'un jour sans parapluie
Quoique kami vente parfois la pluie
Je songe et du jamais ... ne Vous néglige

 

Et voici que l'église à Saint-Germain
De son clocher sonnant Ô les dix-sept
Réveille ce monde au nombre de sept
S'alanguissant en terrasse... au lointain

 

Du Café Bonaparte... à la nocturne
Nul ne peut échapper à l'ambiance ;
Plus de mille ans Nous force à révérence
De l'air romantique... et non d'importune

 

Mais je Vous attendrai aux Deux Magots
Quitte à reprendre un chocolat mythique
Rond et vanillé plaisant à l'intrigue
Celle d'un rendez-vous... promis tantôt

Oli ©...Vous attendrai
©(P) -24/03   muse  (11) Z5

 

Tag(s) : #Poésie_Paris, #Poésie_Quatrain, #poésie_10syllabes, #poésie_Années_Zb
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