L’automne d'octobre ne tire révérence À ce bel été chaud Nous ayant fort soumis Au jeu de cache-cache à l'abri de dormance Parfois sur un fauteuil... d'autres sur tatamis
Évidemment feuille se glisse sur la Seine Le Temps à paraître gondole au firmament D'un Ciel jouant au feu d'un soleil bord de peine D'autant à même heure d'un Louvre assurément
Évidemment le soir à ce moment d'octobre Se prête encor aux vents à ballades sur Quais De regards aux livres désespérant d'opprobre De leurs égarements sous d'autres en le chai
C‘est encor octobre et se livre Mallarmé Bord d'un poussiéreux oublié... en chemise Que le bouquiniste manipule en aimé Comme Nous chuchotant de le laisser en sise
L‘automne avance à l’aube et chantez autrement La Seine s'écoule sous les ponts en flottille La balade à Nous deux... de baisers à vacille Oli ©…L'Automne d'Octobre ! ©(P) -21/10 May(12) Q9 (picture ; Pastel "couchant sur le Pouliguen - Delloly)
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