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Elle s’est endormie... au bord du songe
Endolorie... de conter mensonge
Pour la bonne image du savoir
Auprès de beaux sires du parloir ;
C’est qu’ils paradaient de bonne couche
De niaiseries de bonne souche
Frisant le monde du parvenu
Endormant ceux... au sabir cousu
Puisque inutile à sonner trompette
Devant vastes champs à sarriettes
Ne laissant qu’arôme à déguster
D’un plaisir moqueur déchiqueté

 

 

 

Elle s’est endormie... au bord du songe
Yeux clos rayonnaient d‘éclat bronze ;
-Le fard était comme le reflet
D’un coucher sur l’océan perlé !
Je n’écoutais lors… tons monocordes
De ces sires ignorant l’aronde
Regards éberlués de l’esprit
Ne rêvant que de la Ferrari !
Endormie… toujours au bord du songe
Je m’avançais au bord... du visage
Sur goélette... en évasion
Devinant pensif... sa passion !

Qu’ils étaient loin… ceux de couleur pâle
Si proches… voyagions à grand-voile

°°°°°°°°°°

©(P) 21/07  P3

 

 

Tag(s) : #poésie_07_09_11syllabes, #poésie_Années_P, #Poésie_Neuvain_&+
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