A u passage du Vent tout au bord du Ponceau Rue Saint-Denis, sans mot... je souris de l'attente À défaut d'apercevoir... douce silhouette Prévue d'un rendez-vous une heure à soubresauts Q ue de chuchotements passant sans découvrir Moindre pensée perdue...

J e veux Vous dire que je Vous aime au tombé Du crépuscule osant Nous dévoiler tels quels De la nudité... Temps d'un indicible été De divins murmures en la chambre d'hôtel J e veux Vous dire mais vous le savez fort bien Sentiment chuchoté n'est qu'une...

C 'est un dimanche saupoudrant déveine D'un été... de son dimanche angevin ; Les gens sont-ils tous au bord de la Maine Offrant un corps au soleil à divin L es cloches sonnent... il est dix-huit heures Seraient-ce ... noces épuisant les cloches Annonçant...

S i l'on s'interroge plus en profondeur A cet amour déclinant toute raison Surprenant l'heure et les feuilles de saison L'on se retrouve sot face à ce bonheur P ourquoi la raison devrait-être arrangée Au profil de la Terre d'à côté l'aube Où se dévoilent...

R econnaissons cette situation au soir, Entre nous-deux, somme toute paradoxale De son apparence, écartant toute parole Pouvant nuire au sentiment... noyé dans le noir D élaissons regrets tréfonds des Âmes en peine Se raconter mélodies et balbutiement...

T u t’en vas ce soir laissant glisser somme larmes Douce amie...comme au parquet joli charme Ne pleure pas... il reste en mémoire Paris Où jamais ne s'oublie tendre tournis Où jamais ne s'abandonnent mots assouvis C e que tu m’as délivré... je le garde...

E t…… ce Rêve , s’il s’ennuie, Irais le chercher la nuit Lunaire à peindre de l’ O r ; Ce visage qui s’end O r t ! L O r s, l'aube étincellera Du bel éclat ressourcé Aux pupilles, où l’ AU r a Enchantera … la pensée. R egarde-nous, ce mi r O ir S’amuse...

S ous l’arbre de Paris Se parfume un désir D’embrasser au plaisir Celui de ressentir Sourire à réjouir Vos lèvres d’un rosi O bserve! Bateau-Mouche Plaisant à Nous héler Sous l’ivresse si douce Emise d’une brise Murmurant gente bise Ô..se goûtant en bouche....

I ndécente blanche que cette neige triste Inlassablement privant l’instant du ciel bleu Comme les soirs fatigués aux paupières closes Offertes lentement à vos songes privés Loin de l’emphase langoureuse à contempler Imaginant ce regard troublant l’écriture...