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E n ce jardin... se baladait Fort appel parfumé de Lui ; Du corps merveille se bruissaient Frissons à bénir chaque nuit ! M use de sa raison semée De son envie docile aimée Tenta séduction... sans mots À le choyer à ses propos ! E n ce Jardin se baladait...
Lire la suiteX inapa, de chance : Vous ai laissée ! Il ne faut guère m’en vouloir Lysmée, Noircir le manque Vous paraîtrait absurde À moins que Vous revoir au crépuscule Parisien... mois de Mai de flânerie Au choix d’un jardin... se vête en soierie ! D ire que lendemain...
Lire la suiteA u bel hasard de la page au matin Stylo-plume endormi... en rose main L'encre noire se souvient de ce Temps Avant ce gris confinement... à vents ; Vent d'un bacille venant de l'Asie ; Vent de vagues humains... posant la Vie ; Vent de complaintes Ô Nous...
Lire la suites omnambule de Vous... il m'arrive de l'être Pas suffisamment à mon goût Tant Paris et ses rues frivoles à paraître Me hèlent au passage et d'un air fort jaloux À jouer de verbes... dessous Il est aisé de résister en somnambule D'un Temps se déroulant...
Lire la suiteO ù êtes-Vous là... Mademoiselle ? Hélas, j’ai... encor perdu une aile Jouant à l’Ange de votre nuit ; Ne désirais vivre Ô de l’ennui ! Q ue ce moment fut là... fort grisant À Vous aimer Tout d’un autrement ; Sans ces ailes glanées... Jour maussade Perdu...
Lire la suiteS ur les humides bords de La Maine Se glisse le souvenir du Vent D'un jour où les feuilles d’une amène Mort... tremblèrent d'un baiser aimant A u caché d’un arbuste effeuillé D'une étreinte éveillant les mouettes À l’affut d’un panier et ses miettes S'enchantaient...
Lire la suiteC 'est assez mon amie, ne saurez me vouloir Auprès de Vous, tranquille, observant le cher soir Se maquiller de l'ombre au-dessus de rivière Là-bas Ô tout là-vas sous un vent de colère À travers la fenêtre à guetter l'ouragan Avancé dès l'aube de vague...
Lire la suiteA lors que le jour pointait sous un vent Audacieux du cri d’un goéland Fier à paraître le Prince de l’Aube Mary décida d’enlever la robe Et crawler en vaste Océan L e Bain du Matin était son caprice Retrouvant dauphins de nage complice Sous gentes vagues...
Lire la suiteC e dimanche alangui d’un rêve à Vous... grivois Observant vieille cour aux pavés d’autrefois Où l’arbre encor dénudé s’éveille en les branches Pense à votre retour… Terre australe et nuits blanches Pour peu de votre temps accordé à Paris Ne saurais déflorer...
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