Q uelques soient les raisons à votre absence Ce beau jour du printemps quoique endormi Sous les vents audacieux d'un kami Je ne m'y plais seul... faute d'élégance Élégance est ce parfum habillant L'humble regard aux premières heures De l'aurore à Vous...

U n rose matin de mai... au Pont des Arts Visages rencontrés de ce bel hasard De l'heureuse vie qui s'invite d'un style Le Temps se prêta à leurs sens du fragile Ignorant au vent marin les gens qui passent Souriant aux spirales d'oiseaux fugaces L eurs...

D ’un vent feutré l’Air chanta ce souvenir d’une femme Sur le Pont du Bleu Tanga... croisée un jour Ô. d’enflamme ; C'était : -Il se rappela... u n Quatorze de l’hiver Parfumant un drap lilas d’essences de Vétiver L e salon déshabillé... décoré de trent’sept...

L ‘ enfant aimait offrir son pull aux papillons ; Ses amis les vulcains s’y posaient frétillant… ; -Un jour tite voisine intriguée... toute blonde Aux yeux gris... vint... s’asseyant... belle sur le pull Conviant les voltigeurs à la courtiser Comme à...

J e Vous l'accorde à ne pas connaître secrets Cachés en vos limbes jusques à vos regrets Malgré le désir à tenter de les rejoindre D'un regard ou d'un mot comme pour les enceindre J e Vous l'accorde à ne pas deviner secret Même sous votre regard m'invitant...

O ù êtes-Vous au précieux soir cher Amon ? M’avez oublié là... bord de Seine en saison Déjà la promenade aspirée de l’été S’est déchirée folle et tendue d’un moucheté Conviant gris Noroît à me fendre en frissons Ses grises pluies rappelant... des jeux...

S ous un saule s'amusant à rider la Creuse Sur une des branches aimant fort la baignade Un vulcain se reposait de sa dérobade Au jardin de fleurs bleues... en lisière ombrageuse R êvait-il à paraître un oiseau bord de Creuse Au-dessus de l'eau bleue guettant...

Q uoique il se dise aux vents à chuchotis Se reposer un tit instant... assis Un dimanche en quelque Pub Angevin À défaut de saule au fond de jardin Sous un air lancinant du bout du monde Qu'importe d'où... tant qu'il soit de juste onde Rêvasser de Vous...

S ouvenir ! Pourquoi m’assaillir ? Partager ! Non, c’est mon secret Risquerais bien fort D’en faillir à mort Au-delà du sort Aspiré d’un tort ! S ouvenir ! Devrais-je faillir D’existence Comme une sentence Jetée en bouteille Ô.. un soir de veille Au bord...