Passionné des syllabes, et de leur sonate telle une glisse au fond d'une barque sans toucher rive, ... est mon credo ! -*Merci pour votre visite & commentaire* - Abonnez-Vous ! (P) Textes protégés -((#autres écrits sur https://trefondsdelimbes.over-blog.com ))
1*Je dormirais sur vos lettres Occupant toute pensée D’un état-d’âme insensé Pour sauver l’Amour de l’aître ! Me contiez-vous l’hier Avant le départ misère, Pour cette Île victorienne Loin d’une Vie parisienne.
8*Evanescent contre-jour !
2*Never, vous ne m’oublierez En griffonnant d’un stylo, Mots doux que vous aimerez M’offrir d’une plume d’O ! Me contiez-vous naguère De vos lèvres joaillière, À l’aube du dernier jour Où larme se vêt d’ajour.
8*Où êtes-vous Edimbourg ?
3*Never, la Vie parisienne Ne s’enfuira de vos yeux Sous les mots dits : “je Vous veux” Vous baladant “éolienne” Ces tourments loin de vos limbes Dormant pensées en corymbes Of words of love-shakespeare Offering me your empire !
8*Flânez-Vous aux alentours ?
4*Never, ne Vous oubliera De mon corps, ni de pensée D’un désir de Vie avouée Sous l’oreiller déchiré O.. d’un parfum transpiré, Me contiez-vous cet hier Of a spring overnight stay ; Never, I’ll forget this way !
Anne Cailloux 25 octobre 2017 9 h 55 min Quelle prose.. Tendresse nostalgique pour une plume déposée sur l’oreiller. Souvenirs d’amour qui liént la femme à la terre… Magnifique.. Dormir sur ses lettres…
ChanTal-C 25 septembre 2017 2 h 21 min Extraordinaire !Comment pourrait-on oublier un tel poème….. NEVER
Merci Oli pour ce moment magique… Chantal
5*Nous dormirons sous nos lettres Nous allongeant doucement Evitant leur froissement En lointaines oubliettes, Sous des draps illuminés Et complices d’enfreints… nés, Même aux heures froid’ émises Sous cruel Vent de banquises Où se meurent environs Et les heures de raisons Chuchotés, noyant l’Amour Ignorant le sombre jour Ô.. des Terres éloignées De nos âmes délignées.
8*Et romance sans un ajour,
Oubliant le désamour,
6*Never, You told me unlove During the Parisian stroll On Quays, near the house of love Just under a noise of owl Frissonnant nos âmes belles De touchés, frôlés rebelles Se remarquant en nos corps Au bord de Seine à babord.
8*Àvaincre le Troubadour,
Et l’aimer d’un doux velours ;
7*Never, la Vie parisienne Ne s’enfuira de vos songes Contant noble vie “septième” Goûtée d’instants comme bronzes, Jetant comédies en Seine À nourrir Gent de la peine D’observer le bonheur vivre Du “Voyage” qui enivre Occupant toute pensée Au fil de plumes d’îlettes Cueillies le jour insensé Ô.. de cet Amour idoine En un songe sur mes lettres Délectant ce goût pivoine ; Crépuscule de rosées D’une larme d’irisées .
8*Evanescents contre-jours
D’une histoire de toujours !