Xinapa, ce parfum pour Vous séduire, instant manquant au tréfonds de l’armoire nonobstant égaré, simple mégarde au retour de campagne où me hasarde ; – Paris ne reconnaissant ma présence, aux traces journalières de jouissance !
C‘est tristesse aux quais sans cette apparence Paris m’oublie, faute d’allégeance !
Parfum d’une nuit, parfum de sottise agrémentant souvenirs de courtise rayonnant une voyelle entendue fourmillant limbes : Êtes revenue une fois encore enchanter le songe mariant “il fut” au Temps, d’un prolonge !
Paris sous la pluie souvent Vous parfume oubliant ma présence d’une embrume un Temps trempant limbes du noctambule rythmant son pas à Vous tel somnambule !
Vous imaginez-vous, revenir seule ? ourler ce parfum sans mots mille-feuilles usant le charme selon convenance soumise à l’amour de belle ordonnance !
Soir se repose du parfum de pluie entrainant ce goût de Vous parapluie déplié aux vents comme renaissance une fois encore à la complaisance ignée de lèvres éperdues d’alarme résonnant le soir bel effet de charme !
Oli ©…Parfum ©(P)-20/05 Suba (10). Z8
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17 août 2020 18 h 25 min
Tout simplement magnifique ! ce poème nous enveloppe d’un parfum subtil de douceur.