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Comme dans un couloir où défilent des ombres
Des ombres d’une Vie se souvenant du sombre
Le sombre de moments ne Nous appartenant
Juste d’effleurement au coin d’appartement…
Un Passé défile d’images avancées
À ne pas convier  d’autre ombre de soirées

 

Comme dans un couloir où défilent les mots
Des mots définissant un Temps du jamais faux
Faux par ses souvenirs se relançant en pause
Assis sur un divan feuilletant vague chose…
Un Passé défile de sons pour un écho
D’un sourire de Vous donnant raisons au mot

 

Comme dans un couloir où défile la Vie
La Vie du Retenir… d’Amour sans tromperie
L’Amour de ses Parents ne vivant que pour Nous
Le Temps de grandir là… jour où s’oublie Beaucoup…
Un Présent défile  préludant Quintessence
De rires et de pleurs agençant Renaissance

 

Du Vingt-Huit Octobre Parisien… à Vous
Il me plait d’écouter… ces premiers pleurs à Vous
Marquant Mots et Dessins d’une Vie, et de Rêves
Rêves lesquels parfois,  du jamais… ne s’achèvent
Comme d’un besoin, là, à Vous dire Merci
De ces moments de Vie… ombrant couloir concis

©(12) 28oct  X3 à Marie-Magdeleine

Rêveries en Baguenaude, Aventures poétiques en France

 

Tag(s) : #Poésie_Paris, #poésie_12syllabes, #poésie_Années_X, #Poésie_Sixain_à_huitain
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