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Pourquoi tant se presser de suite à Vous quitter
À l’ombre de Dame Eiffel
Du baiser langoureux au goût pointu de miel
Intriguant bizz d’un envol
De folle guêpe toute prête… à l’attaquer

 

Tant la file et sa sotte longueur nonchalante
Vous déprimait le désir
Tant un coupable il fallait d’instinct par plaisir
Com’ le surprendre à souffrir
De Vous, puisque du fait vous paraissiez clinquante

 

Les petits pas promis à votre raison d’Être
Là-haut et… Ô tout là-haut
Déhanchèrent ce beau plaisir… à Vous paraître
Celui d’un cœur fort penaud
Ne sachant Vous taire comme Vous méconnaître

 

De tant de mots dérangeant quelque folle foule
De baisers se confondant
Aux pieds du morne guichet… votre farandole
Lui suffit d’un sot… pendant
À fuir désir à plaire avant qu’il ne s’écoule

 

La vieille Dame vêtue de sa robe grise
N’osa Vous le retenir
De tant de scènes gênant à disconvenir
En la mémoire de mise
Où vaines amours mortes parfois s’éconduisent


À l’ombre de Dame, il délaissa l’Insoumise

©(10, 7) *21/05 P1  Rêveries en Baguenaude, Aventures poétiques en France

 

Tag(s) : #Poésie_Paris, #poésie_quintil, #poésie_Bisyllabes, #poésie_Années_P
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