A u vent soudain s’éclipse un doux refrain Ubuesque au large d’un mot soudain ; Vous en êtes l’héroïne au réveil Enlaçant limbes de sens… ce sommeil Négligeant l’envie des balbutiements Tiraillant les yeux de frétillements Saisi de l’instant, le son d’un...
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...Thé de Sarlat - Delloly
R eposons-nous à Sarlat Sur un regard... d’il osa Observés d'un ciel... dès l'aube Le temps de plaire à ces draps De nos formes d’apparat Aimant s’adonner à l’ode P renons-y Thé de Sarlat Le mentholé qui dérobe Le palais, l’été de mode ! Reposons-nous...
Lire la suite..de l'Amour - Delloly
L e Temps n'existe pas au tréfonds de l'amour Les gens passent, passent pressés du Temps, du jour Nous ignorant de fait... préoccupés de l'heure Se rapprochant du Time où se prétend leur heure ; -Pourtant Tous ont aimé délaissant le vil temps Celui qui...
Lire la suite...Le Couloir - Felloly
C omme dans un couloir où défilent des ombres Des ombres d’une Vie se souvenant du sombre Le sombre de moments ne Nous appartenant Juste d’effleurement au coin d’appartement… Un Passé défile d’images avancées À ne pas convier d’autre ombre de soirées...
Lire la suite...Fragile Instant - Delloly
À force de poser sagement bouche bée Kelly s'estimait devenir une poupée Là, paraissant au jour lancinant, devenue Comme la jolie femme à la pause entrevue ; Enfant , déjà, ne se bougeait, à ne fâcher Le virtuose Amiral... osant l’approcher Toute heureuse...
Lire la suite...L'Instant - Delloly
I l l’observait dormir douce au rêve enfoui Bord d'une galaxie... calme de vents diurnes L'intriguant fortement à surfer la nocturne Vêtue de sa prose... brisant le frêle ennui Composé de l'absence et de la solitude Lorsqu’elle remuait du sommeil-certitude...
Lire la suite...Douce Convoitise - Delloly
C haleur étant, prenons ce Temps à rire Des instants où désirons Nous écrire Quelques mots pour cet encor à s'aimer Alors que ... nous pourrions téléphoner ; Asseyons-nous... rebord de la fontaine Buvons en nos mains l'eau qui Nous enchaine Visages conquis...
Lire la suite...Vêtue de Soierie - Delloly
T oute blanche vêtue de plumes Ô soyeuses Elle se promène dans un jardin fleuri Refaisant parterres ô d’autant aguerris De ces vers de terre la gloussant fort joyeuse ; Remarquez quelque tendre pousse à peine née Elle en raffole au point d’entendre hurlement...
Lire la suite...Flânerie - Delloly
X inapa, de chance : Vous ai laissée ! Il ne faut guère m’en vouloir Lysmée, Noircir le manque Vous paraîtrait absurde À moins que Vous revoir au crépuscule Parisien... mois de Mai de flânerie Au choix d’un jardin... se vête en soierie ! D ire que lendemain...
Lire la suite...C'est assez Mon Amie - Delloly
C 'est assez mon amie, ne saurez me vouloir Auprès de Vous, tranquille, observant le cher soir Se maquiller de l'ombre au-dessus de rivière Là-bas Ô tout là-vas sous un vent de colère À travers la fenêtre à guetter l'ouragan Avancé dès l'aube de vague...
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