C e soir Madame, êtes ravissante ne prenez guère Ô.. ce mot comme une plaisanterie de son goût de pomme que l'on croque d'amour... plaisante C e soir, il est un fait, ...Vous rassure me convenez non de ce déguisement mais du charme qui m'éprend à Vous...
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...Funambule d'Encor ! - Delloly
F unambule de ce divin corps qui s'ondule Devinant un chenapan maître de draps blancs Tel désir diaphane qu'il ne gesticule, Proposa velouté, long des côtes et flancs ! C omme un acrobate les yeux mi-clos de l'heur' du bel équilibre offrant le corps à...
Lire la suite...Je Vous Regarde - Delloly
J e Vous regarde il est vrai jour où Vous ai invitée au dîner conter merveilles ; étiez notre ménestrel Ô… qu’avez-vous fait de brave à conter vie de l’esclave d’un Temps très ancien ailleurs où le rêve ne se meurt suite au plaisir d’un baiser se souvenant...
Lire la suite...Il va de Soi - Delloly
I l va de soi que vous m’attendiez au matin d’une rose à l’éveillé au premier rayon envolé frôlant le bois du volet ; ne Vous déplaise je dormais jamais loin de Vous à l’orée rêvant du Temps où j’étais celui d’une nuit étoilée I l va de soi que je Vous...
Lire la suite...Trente-six Chandelles - Delloly
C omment ne pas aimer Paris après avoir redécouvert de ses mots Nous décrire cette ville lumière de sa beauté cachée Nous conviant à l’épouser d’une vie jamais suffisante ; tant de lieux et recoins à respirer comme de lieues à parcourir au vent de la...
Lire la suite...Au Pays fée - Delloly
A u Royaume de la belle enfance Juste de sa belle doléance A l'aube... l'ingénue fée songeait Au Monde aimé... où tant s'y plongeait A moureuse des jolies Voyelles De la nature et toutes ses ailes De son humour parfois enflammé Les enfants se désiraient...
Lire la suite...Ce Songe Endormi - Delloly
R éveille-Toi de ce songe endormi loin de mon étreinte du vieil automne loin de ce rire à l'aube sauvageonne loin Ô Dam de ce désir assouvi Réveille-Toi la nuit que j'en frissonne E coute la brise qui te crayonne la douceur à ton regard du matin la douceur...
Lire la suite...Les Amants de l'Automne - Delloly
L ’automne prend froid depuis ce matin Se découvrant des dernières feuilles Mortes de leurs couleurs virant châtain, Tristes de paraître mornes, seules, Préférant glisser tel’ frêles éteules. E t promeneurs ne s’adonnent plus À contempler la saveur de...
Lire la suite...Au Royaume de Gribouille - Delloly
G ribouille ! je me nomme, au Paradis du chat Souvent pensées à Grissom parcourant l’esprit Celui du temps coquin, où blagues je commis Pour qu’il ne coure pas, d’un pas à l’entrechat. J ’ai douté un instant que mon maître délire De l’âpre absence courant...
Lire la suite...Sous le Vent des Eaux - Delloly
… E t les feuilles mortes Jonchaient, là ! ambrées, Com' pour décorer Le seuil de la porte Taisant cris d’oiseaux Sous le Vent des Eaux Attendant l’écrin De l’Amour-chagrin. S ’entrouvrit la porte Lisant contre-jour Charmant Âme forte À franchir l’ajour...
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